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Forum Tokyo ghoul, basé sur le manga original de Sui Ishida. Avatar du même type en 200*320. Personnage de l'anime interdit à prendre, nous demandons des personnage fictifs car aucun lien avec Ken Kaneki ne sera fait. Cela se passe également à Tokyo.
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Chrono Alastor Shigeru - Mr.Hyde



 
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Chrono Alastor Shigeru - Mr.Hyde
ON EST EN 2016, CA VA BOUGER CETTE ANNEE !
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Chrono A. Shigeru




Chrono A. Shigeru
Membre de la CCG
Messages : 7
Date d'inscription : 04/10/2015

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je suis un membre de la ccg classe 2
prénom(s) & nom  - Chrono Alastor Shigeru. sexe -Homme, on va dire. âge - Vingt-trois ans section - Inspecteur classe - Classe 2 arme - Quinque de type Bikaku. La quinque prend la forme d’une paire de ciseaux de grande taille, pour ne pas dire géante, assez difficile à manier sur le principe quand on n’a pas l’habitude car il faut toujours envisager le retour d’ouverture ou de fermeture d’une lame, quand sa consœur fait un mouvement. arrondissement - Vingt-et-unième situation financière -Oscille entre correcte et limite. situation amoureuse -Célibataire orientation sexuelle -J’men fiche un chouïa…mais si je dois choisir, homosexuel. origine - Franco-japonais

corpulence - Grand et mince…ouais, bon, carrément maigre en fait. Semble pas très musclé, mais si on regarde de plus près…il a que des muscles et des os sous sa peau en fait. Et c’est de l’acier trempé en plus. En réalité, il a presque tout, lui manque de l’épaisseur. Il doit faire un bon mètre soixante-dix-neuf pour soixante-cinq kilos max. C’est juste une plume, en bref. Mais une plume féroce.couleur des yeux - D’un beau bleu clair, tournant très sombre sans lumière.couleur des cheveux - Teint en rose clair. Ouais, bein chacun ses gouts. A l’origine, ils sont blonds. J’en avais marre, que tout le monde me regarde à cause de leur couleur brillante. Limite en rose, j’suis plus discret.avatar du personnage - Chrona-Soul Eater
CARACTÈRE -

« Montre-moi, ce que je recherche.

Montre-moi la fin.

Bel acier de mes rêves, montre-moi enfin la douleur.

Que je cesse de ne rien sentir.

Que je cesse de ne rien ressentir.

Que je sois ne sois enfin, plus rien d’autre qu’un simple humain. »

Chrono, que tu es naïf. Chrono, tu n’aurais jamais pu dévorer qui que ce soit, pour empêcher ta chute. Tu portes bien mal ton prénom. Toi qui ne ressens rien, toi si loin des humains, mais aussi, si loin de tout. Tu te cherches sans rien trouver d’autres que les autres. Tu ne leur en veux pas trop pour ça. Ils n’ont rien demandés, ils se sont juste trouvés au mauvais endroit, au mauvais moment. Alors tu leur passe devant, les contournes, tête baissée, lèvres tremblantes et regard sombre.

Chrono, tu n’es que peur et désespoir. Tu brilles par ton acharnement à fouiller les décombres de ta vie et celles des autres, pour le maigre butin que tu en retire. Tu t’approches des gens, pour t’en éloigner d’une valse, dès qu’ils commencent à te regarder de trop près. Dès qu’ils commencent à comprendre. Tu es un pompeur. Tu leur arrache les quelques brides de malheur dont ils veulent se débarrasser, tu les écoutes, te montre attentif et plein d’une certaine compassion, pour finalement serrer les dents en t’esquivant au plus vite, emportant sur tes épaules les quelques noirceurs des humains, leur laissant toute la gloire de vivre, pour ne te contenter que de l’amertume déception des pensées noires de tout un chacun.

Tu es un avaleur de vies et d’histoires. Tout ça, car la tienne est si vide et dépourvu de sensations, que tu en meurs. Tué dans l’œuf, étouffé, privé de ton oxygène vital, tu ne verse pas une larme et dépérit doucement dans cet espace clos et envieusement torturé qu’est ton esprit.

Tu ne pompe pas l’énergie des autres, tu leur pompe leurs tristesses, qui se dépeignent sur ton visage et ton physique, tel le portrait de Dorian Grey. Tu es le tableau de leurs souffrances, eux, sont le reflet de la joie que tu ne posséderas jamais, que tu n’atteindras jamais maintenant que tu te trouves enfoncé dans la boue nauséabonde de tes cauchemars.

Tu es un trouillard et un excentrique Chrono. Extatique et jaloux de ce que les autres possèdent, renfermé sur ta recherche interminable de quoi que ce soit, pouvant te rapprocher de la race humaine. Ne serait-ce que dans ton mode de vie, oscillant entre celui d’une lie, d’un rejet de l’humanité et celui de quelqu’un de vivable, commode et chaleureux.

Tes états d’esprits, sont aussi variables que les états dans lesquels tu peux te mettre pour un oui ou un non. Tu en tremble, rien qu’à cette idée. Tu n’es pas un être lunatique, seulement divisé entre deux mondes et des envies inassouvies dues à des sensations impossibles à provoqués.

Es-tu tant que cela, incapable du moindre sentiment autre que l’aversion ou l’indifférence pour tes pairs humain ? Non, bien au contraire. Tu les aimes, ces humains si différents. Tu les adores et tu adores, croiser leurs chemins, les effleurés, les toucher du bras, avant de continuer ta route en les laissant poursuivre la leur, plus légers et toi, plus sombre encore.

Tu es là, au milieu de tous ces êtres et soudainement, te voilà charmant, légèrement poli, pas un mot plus haut que l’autre, un caractère rêveur et une attitude presque désintéressée, inattentif au possible, semblant toujours fatigué de tout et lassé de rien. Ta désinvolture en touche plus d’un, tandis que toi, tu l’aperçois à peine. Ton visage se creuse, quand tu penses à tes mauvaises ondes. Puis, tu te détends de nouveaux, accorde même des sourires à ceux qui ont l’honneur invisible, de te plaire.

Tu deviens moins informel, plus ouvert, tu parles, sourit, rit, chante même. Tu n’es plus qu’un flot de douceur, d’agréables sensations d’appartenance, de repos, de plaisir tout caché et presque pudique. Quelques lueurs solaires émanent alors de toi, de ces vagues de sensations et de prévenance que tu envoies vers les autres, tout naturellement.

Tu n’es pas du genre à t’énerver, peut-être te vexer, mais pas à t’énerver vite. Ton humeur est souvent figé pour longtemps, bien que quelques soupirs, en traître souvent, font ressortir quelques vastes vapeurs de nostalgique mélancolie, du fond de tes yeux plongés dans le vague.

Restes, reflets honteux des précédentes pensées de solitude, de déception, de désespoir et d’envies qui te parcourent par frissons, tout au long de la journée et de la nuit.

Chrono, tu es si vide, si vide et seul, que pour ceux capable de le voir, tu en deviens d’un tragique insurmontable. Tu es un personnage capable de faire pleurer le plus dur des métaux, par gouttes froides de matériau liquide et tranchant.

Tu dégouline d’ironie, parfois. Tu es aussi positif, que tu caches ta négativité. Tu es aussi agréable et normal, qu’à l’intérieur, tu es mort et envieux. Tu es aussi à l’aise avec les humains, que tu es seul.

Mais Chrono, tu es un démon. Chrono, tu es une bombe à retardement. Chrono, quand tu trouveras enfin ce dont tu à envie, tu te détruiras et détruira nombres d’autres. Chrono, tu es un dieu qui s’ignore.

Chrono, tu es cynique et instinctif, violent et colérique. Chrono, tu es une machine à tuer, Chrono, tu es un humain qui ne veut pas en être un. Chrono, si tu avais pu choisir, tu aurais choisi de souffrir. Chrono, ton humanité te ronge, te détruit et te tue à petit feu.

Tu cherches l’onde qui permettrait de chasser cet effet papillon, tu cherches ce qui te ramènera à la vie, quitte à te tuer.

Chrono, déjà, quand tu combat, tu n’es plus que ce que tu devrais être. Chrono, quand tu manie tes sentiments, quand tu te flagelle mentalement, tu trouves la force de courir. Chrono, tu es un Hyde qui cache un Jekyll. Chrono, tu cherches à retourner à une vie souple et normale qui te ferait vibrer, mais tu ne fais que hurler, car la seule vie que tu peux supporter se dévoile à toi dans les cendres et les débris de la folie humaine. Tu te sais atteins, tu veux retarder le processus, mais un jour, la bombe exploseras avec toi. Car tu as besoin de trouver, de savoir, d’apprendre, l’ultime chose, qui pourrait contenter ton esprit malade et illogique.

En cela, tu es âprement plus incroyable que n’importe quel Prométhée fictif, car toi, tu aimes l’idée qu’on te dévore le foie chaque jours qui font et feront ce monde. Pour pouvoir te fondre d’autant plus dans ce sourire de fou qui parfois, éclaire ta face d’un rayon obscur et morbide, qu’une goule pourrait égaler, non sans envier.

Pathétique petit homme, qui ne peut faire face à son absence de sentiments. Petit homme, qui voudrait être grand monstre vivant.

Gamin colérique qui n’a jamais su tirer un trait entre la réalité et la fiction.

Mort-né, qui ne connaîtra jamais la logique et ne comprendras jamais le bonheur simple, de vivre tout simplement.

Embryon, qui n’aurais jamais du exister.

Néant, auquel tu devras retourner.

« Ô, belle lame ensanglantée.

Donne-moi la force de continuer à chercher.

Je t’en supplie, voit mon souhait exaucé.

Fait, qu’enfin, je ne sois plus qu’un simple être humain.

Car j’ai besoin de savoir, ce qui pourra contenter ma faim.

Pour que je puisse m’endormir, d’un sommeil sans rêves. »

HISTOIRE -

Quel sentiment, que de se sentir vivant !

Quel sentiment, de sentir que le prédateur, change soudainement de rôle !

Quel sentiment, que de ressentir, que de chercher à comprendre !

Quel sentiment qu’aimer la vie !

De se tordre en tous sens, de sourire à s’en faire craquer les joues, de faire tourner la lame dans un sens, pour que l’autre lame se referme sur un cou et fasse sortir le sang rouge que tout le monde partage. Sauf toi, Chrono. Car tu en es persuadé, dans la pénombre, ton sang est noir.

Humains, goules, quelle différence ? Ils sont tous fou, tu es fou, le monde entier à perdu l’esprit depuis des millénaires ! Quelle raison de garder un peu de raison, dans un monde en proie au vague à l’âme ? Quel raison de rester ignorant, alors que le savoir peut faire tant de mal, faire tant sourire ?

Apporter tant de sentiments, bien que la réponse soit encore si loin ?

C’est là le souci de ton histoire, Chrono. Tout tourne autour de ton besoin de savoir, de comprendre, de tout comprendre ! De te comprendre. Il faut dire, que tu es un mystère à toi tout seul, personne ne put te qualifier avant récemment. Tu as toujours été entouré de brume, d’incertitude, d’indécision et d’hésitation.

Tu te souviens parfaitement, enfant, la simple question, « Qui es-tu ? », se changea rapidement en tout autre chose. Bien plus blessante et insultante, mais à laquelle tu es désormais habitué. Un nouveau et innovant, « Qu’es-tu ? ».

Mais tu n’as jamais tenu rigueur à ce genre de questions. Tu sais qu’elles sont pour les moins justifiées, même toi, tu ne pouvais y répondre. Aujourd’hui aussi, d’ailleurs, tu n’as rien à réponse à cela. A chaque fois, tu levais simplement les yeux au ciel, pensif, sombre et inquiétant. La colère de ne pouvoir choisir, te mettait dans un embarras certain.

Tu aurais voulu les faire tous taire.

D’autant plus, que toute ton enfance, cette question fut soulevée. A tes parents et à toi. Devant les toilettes, devant les autres enfants, devant les adultes, devant les inconnus à travers leurs regards plein d’interrogation et de dégout.

Lever les yeux au ciel, ne suffit très vite plus et la flamme de la rancune s’alluma rapidement dans ton être, dès ton plus jeune âge.

La rancune contre ton corps, contre ta personnalité si morne et peureuse, contre le monde entier qui ne pouvait t’apporter aucune réponse convenable sur ce que tu étais. Jour après jour, tu voyais ton entier changer, hésiter entre homme et femme, prendre l’apparence de l’un, puis de l’autre, te rendant malade et fragile psychologiquement.

Haut le cœur, après haut le cœur, tu supportais chaque coup de ton corps né sans sexe définis, mais également, sans douleur.

Années après années, essayant de paraître normal, mois après mois, essayant de comprendre pourquoi les autres ressentaient quelque chose que tu n’avais jamais connu. Aveugle à la douleur, tu te demandais quelle était cette étrange chose, dont tous semblait souffrir et avoir une peur coriace.

Toi, tu te t’approchais de cette douleur, la recherchait, t’écorchant, te coupant, mutilant ton visage et ta peau, une fois même allant jusqu’à te rompe les os.

Toujours, tu ne ressentais rien.

Ni la peur d’avoir mal, qui semblait guider le monde, ni la douleur elle-même, qui semblait faire frissonner l’humanité.

Tu clignais des yeux, tu observais les autres enfants s’éloigner de toi, tandis que tu creusais un fossé entre eux et toi, profond et boueux, devenant un véritable no man’s land, au fur et à mesure des années. Il te fallait comprendre la souffrance psychologique, si la physique t’était impossible d’accès. T’éloignant de ces hommes de chairs si douillets et sensibles, tu te plongeais alors dans d’intenses réflexions, poussant le vice au point de non-retour. Au point, d’y prendre du plaisir.

L’effet escompter ne fut pas celui prévu.

La vie coula dans tes veines, tandis que tu te dressais vers la douleur, toujours plus, songeant, alors simple adolescent, que décidément, tu ne pouvais être humain. Tu étais trop différent d’eux. Tu touchais la souffrance du doigt chez les autres, tu compris comment l’utiliser, la provoquer. Tu assimilas alors que la destruction d’un corps, pouvait provoquer celle d’un esprit.

Tu appris aussi que ton esprit ne pourrait jamais être détruit de cette façon.

Un corps incertain, une psychologie douloureusement sombre et un enfant semblant mort, dans un monde de vie. Un enfant monstre, dans un monde d’humains et de goules. Qui pourrait expliquer pourquoi, Chrono, tu à rejeté toutes les aides, toutes les mains tendues, toutes les bonnes paroles que l’on te proposait pour faire fuir tes conclusions hâtives ? Car  la place, tu préféras t’enfoncer dans le Styx de tes pensées.

Choses sûre, cette attitude éveilla bien vite en toi, la sensation vitale et désespérée, que tu n’étais pas né au bon endroit, au bon moment et dans les bonnes circonstance, petit monstre insensible.

Très vite, tu te mis à courir après un idéal fictif, à chercher partout, jusque dans le malheur des autres, ce qui te faisant tant défaut. Un peu de sensations humaines, un peu d’humanité. Moins tu en trouvais, plus te devenais sombre et violent, moins la moralité et les limites sociétale, arrivait à te tenir. Tu laissais tes envies s’éveiller à des penchants sanglants, dévoilant en toi une excitation jusqu’alors jamais ressentie.

Mais tu n’étais pas encore tout à fait fou. Car plus tu t’enfonçais dans ton esprit et ton attitude dépassant les bornes, plus tu réalisais que tu allais devoir en sortir aussi vite. Au regard des autres, tu semblais certainement l’adolescent le plus étrange et
monstrueux jamais vu. De corps et d’âme.

Ainsi, alors que tu étais déjà avalé par ta noirceur, tu fis les premiers pas vers la lumière. Tête basse, regardant sans cesse derrière toi, les mains moites et des regrets peints sur ton visage. Trainant derrière ta personne, les masses sombres de tes désillusions, de tes incompréhensions et de tes sentiments si forts. Tel un fardeau, aujourd’hui encore, tu les traînes.

Et tu les traineras toujours.

Si tu devais résumer ta vie, le compte-rendu serait simple. Bien plus simple que le tableau évolutif que j’ai écrit pour toi.

Tu le ferais certainement en chantant, ou en souriant un peu, calme et dodelinant de la tête. Chrono le rêveur. Chrono, l’amoureux de la musique. Chrono au visage déformé par la peine. Chrono l’excité. Chrono le tueur de goules. Chrono l’exagéré. Chrono.

Tu es né, sans sexe définis. Subissant une insensibilité congénitale à la douleur, qui t’éloigna de beaucoup de sentiments ainsi que de limites corporelles et morales. Tes parents étaient aimants et attentionnés,  tu les as beaucoup aimés. Tu à grandis assourdis de questions sans réponses sur ce que tu étais, sur ta capacité à ressentir ou à être un humain.

Alors tu t’es enfermé en essayant de chercher une réponse à ton identité, puis, à la douleur dont tout le monde te parlait. Tu te sentais comme un aveugle. Tout ce que tu trouvas, en tout cas, fut le bonheur simple d’une vie sans limites, irréelle, ou tu cherchais une identité moins fictive.

La douce souffrance mentale, d’un garçon ne ressentant que de la pitié pour lui et de la peine pour le monde si mutilé. D’un garçon voulant enfin vivre, quitte à en mourir.

Adolescent, tu deviens violent, hystérique, à fleur de peau. Tu rejetas toute aide, hurlant et t’arrachant les cheveux, ne supportant plus rien qui faisait de toi le monstre que tu étais. Pas de sentiments, pas de corps définis. Qu’étais-tu alors, Chrono ? Rien de concluant, chose certaine à tes yeux.

Puis finalement, tu t’es calmé. Ce fut quand tu te mis à chercher ce qui pouvait te rapprocher de l’humanité, arrivant à la conclusion que ce qui pouvait te rendre plus humain, n’en était pas moins inhumain. Et cela te calma, apaisa doucement tes accès, tes explosions de haine.

Tu devins plus flegmatique, penseur, ta personnalité d’aujourd’hui se forgea en même temps que tes chromosomes choisirent de te faire garçon, au final. Après le lycée, tu décidas d’entrer dans la CCG. Deux ans d’efforts, avant de te retrouver enfin inspecteur. Une colombe. Tu n’aimes pas ce terme. Si tu n’es pas humain, tu es loin d’être une colombe. Tu trouves qu’aucun membre du CCG, ne ressembles à une colombe.

En tout cas, non, tu n’avais aucune haine contre les goules en t’engageant, même aujourd’hui, tu n’en a aucune. Elles te semblent plus humaines que toi. Oui, tu en massacre, tu en as tués, mais tu veux aussi les comprendre. Tu veux savoir, tu veux une réponse à une question qui plane autour de ton être depuis des lustres, sans savoir quelle question est-ce. Et tu penses, que tu peux trouver un indice chez les goules.

C’est une quête illusoire, mais tu te donnes du mal pour la porter à terme. Petit monstre, incertain de ce qu’il est, physiquement et mentalement. Pourtant, tu continues de dire toujours la même chose.

« Je suis seulement humain. »

Parle toujours.
& VOUS ?-
prénom - Eyyyy, Chrono, c’est très bien d’abord ! Donc ce sera Chrono !alias - Shiki, habituellement. Je crois.comment as-tu connu le forum ? -En fait, j’avais vu le forum il y a longtemps en tapant « Tokyo Ghoul rpg » sur le net. Mais j’ai beaucoup hésité à m’inscrire, en fait, c’est carrément pas raisonnable d’ailleurs, mais ce perso me tapait l’esprit alors voilà, je suis là. /PAN as-tu des remarques ? -Je devrais pas m’inscrire, je devrais pas ! Je vais morfler, mais j’ai vraiment envie d’essayer de faire de perso. >.< Je serais punie pour ça, chose sûre. (Sinon, j’espère qu’il n’y a pas trop de fautes et d’incohérence dans l’histoire. Voilà.)code -Chrono Alastor Shigeru
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Akira Yuki




Akira Yuki
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BIENVENUE ♥
Alors. Que dire. Tu es magique ? Epoustouflant ? J'ai adoré ton style d'écriture. Il est vraiment unique. Tu as un talent fou je crois. Non mais j'ai complètement succombé à ton personnage. Chrono est si sombre, si ténébreux mais attachant à la fois - je crois que j'en suis amoureuse. Non mais sérieux ce sont pas des paroles en l'air. C'est presque poétique, même si c'est sombre. C'est l'une des plus belles présentations que j'ai jamais lue sur ce forum, alors merci beaucoup.
Félicitation, tu es validé(e) ! Tu vas pouvoir recenser ton avatar ici. Ensuite, crée ta fiche de liens et n'hésite pas à demander un RP ! N'oublie pas de faire un tour par la boutique, qui sait, tu pourras peut-être trouver ton bonheur. Et enfin, si tu nous aime, vote sur les top-sites pour TG ! ♥
 
© ANARCISS - tokyo ghoul
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