Citoyen Messages : 180 Date d'inscription : 01/08/2014 Informationsarrondissement: 2ème arrondissement.Groupe: CCG, citoyen, goule, osamaru, kamakiri, kyoukou...Rang:
| | |
| MOI JE SUIS UN CITOYEN hey boy | prénom(s) & nom - sora nakamura. sexe - masculin. âge - vingt-neuf ans. arrondissement - 2ème arrondissement. situation financière - confortable. situation amoureuse - volage pour une bonne cause. orientation sexuelle - idiot. origine - indo-japonaise. tu fais quoi dans la vie ? - médecin légiste.
corpulence - plus grand que la moyenne, athlétique. couleur des yeux - verts de sa grand-mère indienne. couleur des cheveux - bruns. |
the truth Sora ressemble à une feuille de papier. Déchirée en mille morceaux que l'on essaie de recoller indéfiniment. Il inspire toujours quelque chose à quelqu’un. Une connaissance, un ex-compagnon, un coup-de-cœur, un vieil ami. Ou le souvenir d’une rencontre, d’un petit sourire qui aurez changé votre vie, de ses mots qui rappelaient d’ancien temps oubliés et qui blessaient. Sora, à travers son doux visage, inspire souvent quelque chose avec amertume, ou rancœur. A ce moment-là, il leva la tête vers le ciel, pour que plus personne ne puisse voir son visage.
Sora ressemblerait surtout à ton meilleur ami, cette personne qui ne te ferait qu'aspirer confiance, avec ce sourire digne d'une vieille série à la con, et qui sera toujours là pour toi. Alors, reprenons dès le début. Sora est quelqu'un de particulièrement égoïste ; il y a lui, lui, ses orteils, lui, et au final, les autres. Il pourrait d'ailleurs paraitre pour quelqu'un d'assez détestable quand vous le rencontrerez mais si vous vous documentiez sur sa personne, vous le comprendriez plus facilement. Il connait ses limites, cependant il arrive de s'emporter sur quelque chose qui lui importe sans pouvoir se maitriser. Au final, il avait décidé de tout laisser au feeling, même s'il arrive à un moment où - après s'être trop emporter - il finit par se laisser aller. Le brun est quelqu'un de particulièrement compulsif qui peut craquer à n'importe quel moment ou endroit. Une vraie fillette. Mais contrairement à celle-ci, il est difficile pour quelqu'un de rendre Sora jaloux. Par on ne sait quel moyen et malgré son caractère un peu trop fougueux, il reste de marbre face à une quelconque situation qui pourrait tout déclencher. Le déclic, ça se fait par étape et ça évolue de façon à ce que la surprise ne l'anéantisse pas. Arriver au sommet, Sora se tait. « Tu te fous de ma gueule ? ». Car oui, le brun est un grand bagarreur dans l’âme, sans pour autant être un lâche, bien évidemment. Monsieur est trop bien éduqué.
Le reste du temps il avait la flemme, tout simplement. Peut-être que la raison de son insensibilité est son métier? En effet, à force de côtoyer, il avait l'impression d'avoir tout vu sur cette terre et cela l'avait rendu blasé plus qu'autre chose. Désormais, la seule chose qui le faisait vraiment vibrer du plus profond de son être était son travail et la façon dont il se faisait mal. C'était une connerie, sans plus. Il aimait cette douleur qui le submergeait quand il se coupait ou voir même se taillader les veines. Il n'y avait plus de douleur, mais des vagues intenses de plaisir. Puis, il y eut la blessure de trop, celle qui l'envoya à l'hôpital après une perte excessive de sang. On tenta de le sauver de cette addiction fatale, en vain. Et puis un jour, un psychiatre le sauva. Il le sauva en lui donnant un remède miracle qui pouvait effacer temporairement cette addiction : avoir des relations sexuelles. Enfin, le reste était une autre histoire.
Mais avant de s’enfoncer avec cet afflux d’adjectifs péjoratifs, on pourrait cependant remarquer de nombreux traits positifs, tel que le fait que Sora est le rire assez facile, chose qui égaille constamment ses journées beaucoup trop chargées. C’est le gars, avec sa clope au bord des lèvres, que l'on pourrait définir comme bipolaire, mais qui donne étrangement l'envie d’être son ami. Un simple constat. Voyez-vous l’afflux de gens qui n’hésitent pas à aller à la rencontre de Sora, pour faire connaissance parce qu’il a l’air sympathique. Le brun a cette habitude magistrale de casser le mythe dès les premiers mots. C’était à en mourir de rire, d’après ses quelques amis. Sora, lui, ferait comme d’habitude ; il les regarderait les sourcils froncés, et dirait quelque chose comme « qu'est ce que vous avez, encore ? ». La description caractérielle n’étant toujours pas fini, il serait préférable de s’en tenir au principal pour éviter d’y rester plus longtemps. Ce n’était pas nécessaire, et puis, quand vous lui ferez face, vous saurez.
but why ? Il n’y avait pas grand-chose à dire, vraiment. Sora était le premier et le dernier né d’un couple indo-japonais bien rangé, et son enfance avait baigné dans un mélange de tradition indienne et japonaise. On l’avait choyé, on l’avait protégé, on l’avait aimé, il n’avait jamais manqué de rien. En soit, rien de vraiment intéressant. Il grandit sous l’oeil de ses parents, il travailla dur pour les satisfaire et pour les rendre fier de lui. C’en était presque barbant. Il n’avait jamais eu de projet, ni de vrais rêves à réaliser. Il ne faisait que suivre un chemin qu’on lui avait déjà tracé pour qu’il devienne un des moutons de cette société. Alors, au lieu de continuer à marcher bêtement, il s’arrêta au milieu du chemin et se posa une question. Pourquoi vivait-il? Alors Sora joua au con, avec ce petit couteau suisse qui trainait toujours sur le lavabo de sa salle de bain. Il joua au con, mais au même moment il remarqua quelque chose d’extraordinaire après la douleur.
Sora guetta la moindre présence dans l’appartement. Une fois la chose faite, et l’absence totale d’oreilles indiscrètes, le brun rentra dans la salle de bain, et plongea dans l’eau froide, préalablement remplie dans la baignoire. L’absence de verrou dans la porte de la salle de bain le gênait assez. Une fois plongé, il respira un bon coup avant de saisir d’un mince couteau de cuisine, déposé sur le bord de la baignoire pour l’occasion, et transperça de façon peu profonde son poignée. Après la douleur, une étrange extase l’envahit. Il était un peu comme un accro à l’exta’, au lsd. Accro à la nicotine, comme accro aux baisers. Il était accro à la douleur. De nombreux gémissement se firent entendre, et résonnèrent dans la salle de bain. Il s’arrêta quand il entendit subitement la porte s’ouvrir, croisa le regard horrifié de sa mère, avant de s’enfoncer dans l’eau, étrangement faible. Il entendit des cris, et des pas irréguliers, pressés, tandis qu’on le ramenait en dehors de l’eau glacée. On finit par le diagnostics comme dépressif, on disait qu’il voulait se suicider, mais ce n’est quand voyant un psychiatre pour la première fois de sa vie qu’il finit par avouer. « Je m’ennuie vous savez. J’aime la douleur, j’aime me faire mal. Mais ne vous inquiétez pas, ça n’arrive que rarement. Je ne veux pas me suicider, j’aime suffisamment ma vie pour y mettre un terme. » Sora avait repris des couleurs, et on ordonna à ses parents de le surveiller. Sora soupira. Il ne mentait pas, non. Il n’était pas un accro ordinaire, un accro qui se satisfaisait en cachette, qui se détruisait de l’intérieur, non. Et puis un jour, son psychiatre le prit à part ; il le sauva. Ce jour-là, Sora avait seize ans et il dût commencer à se chercher une petite amie ou quelqu’un qu’il connaissait suffisamment pour pouvoir le laisser se satisfaire.
C’est pendant cette période qu’il se décida à travailler dans le médical. D’abord tenté par la psychiatrie, ce n’est que quelques années plus tard qu’il décida de virer en médecin légiste. La raison ? Il ne le savait pas lui-même.
C’était son travail qui lui avait montré que quelque chose clochait en ville. Tous ces cadavres mutilés jusqu’à la mort, ces quelques os qui restaient, ces bras et jambes manquants. Cela lui faisait penser à des restes qu’on laissait dans une assiette. Quelque chose clochait. Et alors il apprit l’existence de la CCG, de ces monstres dévoreurs de chair qui se fondaient dans la masse et qui attaquaient leur proie à l’abris des regards. Alors, pour la première fois de sa vie, il eut peur pour sa peau. Mais, cette peur finit cependant par s’estomper comme l’odeur de la mort qu’il avait ressenti lors de sa première autopsie. Parce que ça ne servait à rien d’avoir peur, ça ne le défendrait pas contre ces créatures. Et puis, la vue de tous ces cadavres qu’il avait du traiter avaient comme anesthésié sa peur même s’il savait comment finissait les humains victimes des goules. Son sang froid avait comme éliminé tous ses autres émotions, mais au fond ça l’arrangeait.
La scène est fixée, l’histoire peut commencer.
& vous prénom - el dictator. alias - sissi l'impératrice. comment as-tu connu le forum ? - on s'est croisé, on s'est aimé. as-tu des remarques ? - ce fo a les meilleurs initiales du monde, okok. code - je suis trop bg pour ce genre de choses.
| |
|
|
| | |
| Nan mais je sais que tu me veux et je te comprend quoi ! Bon eh bien... Bienvenue ? L'ironie fait la chose huehue ! & Bonne chance pour la suite, j'aime beaucoup ton caractère déjà ! On va laisser Aoi et lui se battre jusqu'à la moooooort ! Et ton avatar nan mais quoi il est trop beau tavu. EDIT : YA UN ICON QUI SE BARRE DU BATEAAUUUU !
|
|
Citoyen Messages : 180 Date d'inscription : 01/08/2014 Informationsarrondissement: 2ème arrondissement.Groupe: CCG, citoyen, goule, osamaru, kamakiri, kyoukou...Rang:
| | |
| J'AI TROUVÉ LA FORCE POUR FINIR JHDSVDS (et c'est vrai qu'il est bg mon avatar, on se demande qui me l'a fait. 8D) et je m'auto-valide parce que j'ai le pouvoir. |
|