Goule ▬ Kyoukou Messages : 521 Date d'inscription : 18/08/2014 Age : 24 Informationsarrondissement: 13eGroupe: KyoukouRang: S
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| | je suis une goule écailleuse |
prénom(s) & nom - Akira Yuki alias - Le Renard sexe - mâle âge - 20 kagune - écailleux - Rinkaku masque - Un masque blanc, à forme de tête de renard, comme les petites divinités en portent dans le folklore japonais arrondissement - 13e groupe - Kyoukou situation financière - moyenne situation amoureuse - célibataire orientation sexuelle - htérosexuel origine - japonaise tu fais quoi dans la vie ? - bonne question %D
corpulence - mince couleur des yeux - Verts, mais parfois il met une seule lentille dorée sur son oeil gauche. Juste comme ça. couleur des cheveux - Châtains teintés en rouge avatar du personnage - Akashi Seijuurou - KnB CARACTÈRE - Akira est un jeune homme qui a beaucoup changé dans sa vie. Il est passé du petit garçon sensible solitaire et faiblard à un jeune homme fort, entouré et impitoyable. Ce sont les évènements de sa vie qui l’ont modelé de cette façon.
Mais le passé reste le passé. Alors que le présent, on peut le changer. Akira est un jeune homme ayant de l’influence. Il peut être très convaincant quand il ment. Mais il n’est pas un beau parleur. Il est persistant et persévérant. Quand il veut quelque chose, il l’obtient. Par n’importe quel moyen. Intelligent, il est très stratégique, et peu de choses sont laissées au hasard avec lui. Son courage est égal à sa force ; il est obstiné et rien ne lui fait peur. Les obstacles ? Il les élimine. Les personnes gênantes ? Supprimées ou sous contrainte.
Même s’il est sûr de lui, il est méfiant. Il ne se confie qu’à de rares personnes sélectionnées parmi son entourage. Il n’est pas le « chef » ou celui qui mène les troupes. Il est simplement sûr de lui. Il ne cherche pas à faire régner son quartier sous ses ordres ; il veut simplement qu’on lui foute la paix.
Il peut être méchant. Très méchant. Si on le cherche, ou si la personne l’a mérité ; mais rares sont les fois où il exerce la méchanceté gratuite. Avec Akira, il ne faut pas confondre sarcasme et méchanceté. Parce que ce mec-là, il est très sarcastique. Il aime avoir raison, même parfois au point d’en devenir insupportable –mais ce cas-là n’arrive que rarement-. Akira est aussi très bordélique. Son appartement est un véritable foutoir. Mais parfois, avec ses sautes d’humeur, il peut lui arriver de tout ranger, tout nettoyer. Son domicile n’est pas sale, simplement mal rangé.
Ce mec-là n’a pas que des points négatifs, heureusement. S’il y a quelque chose qu’il respectera toujours, c’est bien les femmes. Enfin, celles qui ont l’air gentille, pas les tepus du coin. Quand une fille est avec lui, il est plus calme, plus doux ; même si tout dépend de la relation avec la femelle concernée. Il peut lui arriver d’être un véritable salopard, mais rarement envers la gente féminine.
Il ne faut pas croire qu’il n’est que brutalité. Il peut être doux, gentil aussi. Mais il ne faut pas croire. Il tient particulièrement à ces jurons lorsqu’il y a un problème ou une gaffe est commise, et ce même devant une femme. Lâcher un « Merde ! » si l’on renverse du café sur le tapis du salon n’a jamais fait de mal.
Mais Akira reste un homme au lourd et dur passé. Et il reste une goule assoiffée qui prend énormément de plaisir à dévorer ses victimes. Il est accro à la chair humaine, beaucoup plus qu’avant. Il est incontrôlable. HISTOIRE - Nous vivons dans un monde compliqué. Où l’espoir fait vivre mais le désespoir l’emporte toujours ; où la mort gagne toujours sur la vie, et le Mal est toujours plus fort et plus puissant que le Bien.
Les gens pensent toujours que le Bien est le meilleur choix ; ils espèrent entrer au Paradis, même après avoir pêché en n’ayant pas respecté les codes de leur religion qui leur est si chère. Ils craignent le Jugement Dernier, de peur d’être confrontés aux flammes de l’Enfer, qui les consumeraient pour l’Eternité.
Que de futilités. Un ramassis de conneries, ouai.
Voilà ce qu’en pense Akira Yuki. Malgré la brutalité de ses mots qui pourraient choquer les plus pieux, il n’avait jamais cru un seul mot de tous les religieux, des plus sages aux malveillants. Pour lui, tout n’était qu’un pur hasard : la vie même n’avait absolument aucun sens, alors à quoi bon s’appliquer à devenir meilleur ?
Akira était un enfant solitaire, et d’une maturité précoce. Il a toujours fui les autres, ne voulant s’attacher à personne, ne rien devoir à personne, ne manquer pour personne ; tout cela dans le but de ne pas souffrir. Il détestait avoir mal pour ou à cause de quelqu’un. C’était sa grande peur ; il savait ô combien les pleurs et le chagrin étaient inutile, tout autant que s’acharner sur son sort empirait les choses.
Un jour de pluie, lorsqu’il avait à peine 7 ans, il trouva un chaton trempé sur le seuil de la porte de sa maison. Il le recueillit en cachette, et il s’occupait bien de lui, comme il pouvait surtout. C’était la première fois qu’Akira donnait du meilleur de lui-même pour quelqu’un ou quelque chose. Il avait le ressentit que ce petit chat était semblable à lui, et qu’ils se comprenaient mutuellement. Jusqu’au jour où ce qui devait arriver arriva. Après plusieurs semaines à ses côtés, le petit chat se fit écraser par une voiture, sur la route. Sous les yeux du petit garçon. Il n’en revenait pas. Il devait encore souffrir. Souffrir. Souffrir. Souffrir. Toujours et encore souffrir. Mais quelle était donc la cause de ses maux, à ce petit garçon, si jeune et innocent ?
Son père. Telle était la cause de son malheur. Ce type était un monstre. Alcoolique de première, violent, et je vous passe la liste interminable de ses défauts. Ce mec avait-il seulement des qualités ? Cette question demeurait sans réponse. Sa femme était brutalisée, martyrisée, rendue presque à l’esclavage par cette bête qu’était son mari. Elle était soumise, ne pouvant s’échapper. Elle ne sortait jamais, et son époux fermait toujours derrière lui la porte à clé avant de partir, et verrouillait toutes les fenêtres. Akira était jeune, et voyait le travail forcé qu’exerçait sa mère dans toute la maison ; il la voyait subir les coups de son père, la tuant aux tâches ménagères et à tous autres types de travaux qui l’usaient. C’était du véritable esclavagisme. Sa mère était faible, fatiguée et blessée. Son corps ne voyait presque plus la lumière du jour, ses forces se perdaient de jour en jour, les coups la tuant de plus en plus. Chaque coup était un pas de plus vers la mort. Sans parler du fait qu’il ne la nourrissait que très peu, uniquement quand elle était tombée en phase de famine ; et quand les blessures qu’il lui infligeait se cicatrisaient trop vite, il refrappait dessus pour faire durer la douleur. C’était son plaisir. C’était un homme fou.
Cette mère aimait Akira plus que tout au monde : c’était son soutien, son moyen de tenir le coup. Pour survivre, elle pensait à lui et dès que son mari s’absentait, elle le serrait dans ses bras, pleurait éperdument, lui confiant toutes sortes de choses qu’il ne pouvait pas tout à fait comprendre. Le pauvre petit ne pouvait changer en rien la situation. Il était faible. Inutile. Tel un décor. Il avait déjà entendu son père traiter sa mère de « vulgaire objet ». Cela l’horrifiait.
Cette pauvre femme tenu 7 ans. 7 ans d’horreurs.7 ans de coups, de violence, de travaux incessants ; mais elle avait enfin trouvé le repos éternel. Elle partait pleine de regrets : laisser son fils à une telle ordure. Pourtant, son père n’était pas aussi dur avec Akira qu’il l’avait été avec elle ; mais ce n’était pas non plus un père remarquable.
Il le laissait à l’abandon, familialement parlant. Sinon, il le nourrissait, mal tout de même, pour cause que les temps étaient devenus plus durs : la CCG était plus présente qu’avant dans le quartier. Malgré la mort de sa femme, cela ne l’empêchait pas de picoler encore plus, ni de quelques fois se défouler en frappant son fils.
Les années passèrent. Akira n’allait que rarement en dehors de la maison, même s ‘il était libre. Il n’avait jamais été à l’école, mais les livres qui se trouvaient chez lui lui avaient enseigné beaucoup de choses, et doté d’une incroyable intelligence, il aurait été remarquablement bon à l’école. A partir de ces 17 ans, Akira allait se nourrir seul, fuyait son domicile le plus possible : son père le poursuivait. Comme il se faisait vieux, il voulait que quelqu’un s’occupe de lui. Il n’avait que son fils. Mais il n’était plus un bébé ou ce petit garçon faible qu’il était avant. Il était devenu fort. Il était capable d’affronter son père.
Un jour, lors de l’une de ses nombreuses sorties en ville, Akira rencontra une jeune fille. Alors qu’il avait été blessé par un gang de goules cannibales, cette jeune fille était apparue. Elle était venue à lui, ne pensant pas qu’il était ce que les humains répugnaient et appelaient « monstre ». Il avait besoin de chair pour se régénérer. C’était un besoin vital. Tandis qu’elle lui demandait s’il avait besoin d’aide, il prit sa main, la plaqua parterre, se positionna au-dessus d’elle et goûta à sa chair de l’épaule. Elle lâcha un petit cri de douleur, qui fut étouffé quand il mit sa main devant sa bouche. Que c’est bon…Elle était la personne la plus délicieuse qu’il ait jamais mangée.
« Vous êtes une goule…n’est-ce pas ? »
Il continuait à déguster de sa tendre chair.
« J’ai été si bête…j’aurai dû m’en douter… »
Il devenait incontrôlable. C’était trop bon. Il avait cette fille rien que pour lui. Il ne laisserait personne la toucher.
« J-je vais mourir…enfin quitter ce monde pourri… »
Sur ces mots il s’arrêta. Elle désirait mourir. Il allait tuer quelqu’un. D’habitude, il se nourrissait sur des personnes déjà mortes –fraîchement, rassurez-vous- ou laissait ses victimes en vie. Il n’avait jamais tué. Et là, l’une d’elle était presque sur le point de lui demander de l’achever. C’était hors de question. Il se releva et la fixa. Elle était jolie. Elle avait l’air gentille et douce. Quelques larmes s’écoulaient le long de ses joues, mais quand elle sentit qu’il ne la mangeait plus, elle le fixa à son tour.
« Pourquoi ne finis-tu pas ce que tu as commencé ? »
Et pour la première fois de sa vie, il éprouva de la compassion. De la pitié. Il avait envie de l’aider. Il avait presque envie de craquer tout ce qu’il avait toujours refoulé en lui. Il ne la connaissait pas, mais il avait envie de lui faire confiance, d’être auprès d’elle.
« Je suis désolé, je n’aurai pas dû…
- Je veux mourir de toute façon, alors tu peux faire de moi ce que tu veux. Nourris toi, tu es blessé…
Elle désirait vraiment mourir. Mais il ne voulait pas faire ce qu’elle lui demandait.
« Je ne peux pas faire ça. Je ne te laisserai pas mourir. Je me suis jeté sur toi…et je te dois la vie. Si…si je peux faire quelque chose pour toi… » Il était mal à l’aise. Il avait une dette envers quelqu’un. Et il allait l’aider, en plus. La jeune fille se mit en position assise, face à lui. Elle essuya ses larmes.
« Alors aide-moi à fuir. Je t’en supplie.
- Alors suis-moi, dit-il sans hésiter en prenant sa main pour la relever. »
C’est alors qu’ils marchaient dans la ville, main dans la main. Ils se parlèrent un peu, s’échangèrent leurs noms, et d’autres choses sans importance encore. Akira n’avait pas osé demander ce qu’elle fuyait ; mais il décida de l’emmener dans son appartement qu’un de ses amis goules lui prêtait souvent. Il l’allongea sur le lit et la soigna minutieusement : il lui avait sacrément bien amoché l’épaule. Le jeune homme lui assura qu’elle pouvait dormir tranquille ici, qu’il surveillait les environs et que personne ne s’approcherait. Tandis qu’elle s’endormait, il sortit sur le couloir ouvert fumer un joint avec quelques de ses amis.
« Hé, c’est ta nouvelle proie ? demanda l’un d’eux. - Non, répondit-il tout en soufflant la fumée qu’il avait dans la bouche. - Comment ça ? C’est ta petite amie ? pouffa un autre. - Non plus, soupira-t-il. J’peux pas vous expliquer. Mais je laisserai personne la toucher. Elle est à moi, continua-t-il en continuant à griller son joint. »
Les autres ne préféraient pas en demander plus, ils savaient très bien qu’il ne fallait jamais embêter Akira.
Quand il revint dans l’appartement, Miyuki –la jeune fille s’appelait ainsi- dormait profondément. Il s’assit à côté d’elle quelques instants, tout en l’observant. Elle avait de beaux cheveux châtains presque blonds, mi- courts, lisses. Dans la rue tout à l’heure, il vit qu’elle possédait des yeux verts émeraude. C’était une jeune fille d’une petite taille, une mince corpulence et de bonnes formes –ni trop grandes ni trop petites-. Elle était vraiment mignonne. Et tout cela ne lui déplaisait pas. Il voulait mieux la connaître. Pour la première fois, il avait vraiment envie de connaître quelqu’un. Il avait des sentiments. Comme quoi les goules ne sont pas que des monstres assoiffés de chair humaine.
Plusieurs jours étaient passés depuis l’incident avec Miyuki. La guérison/cicatrisation allait être longue, mais au moins elle était en sécurité. Ce qui étonnait le plus Akira, c’était qu’elle n’avait absolument pas peur de lui. Il pouvait devenir incontrôlable et se nourrir d’elle à tout instant, pourtant. Mais non, elle avait toute confiance en lui, et elle aimait beaucoup lui parler.
Les jours passaient. Miyuki se reposait et sortait de temps à autres. Akira se sentait de plus en plus proche d’elle. Il partait tous les jours se nourrir, il accompagnait Miyuki lors de ces déplacements, et ils se confiaient souvent l’un à l’autre, enfin surtout Miyuki à Akira. Lui préférait ne pas trop en dire sur son passé. Il ne supportait pas qu’on le prenne en pitié. Un jour, la jeune fille craqua. Elle lui déballa tout. Sa vie, ses secrets, sa famille, et enfin, ce qu’elle fuyait. Qui elle fuyait.
Elle fuyait son ex petit-ami. Aussi incrédule que cela pourrait sembler croire, ce mec-là était dangereux. Un humain dangereux. Il voulait faire faire des choses à Miyuki la profanant. Il voulait la forcer à partir avec lui, à devenir sa complice lors de ses actes criminels. Elle refusa, et depuis ce jour, ce type la cherchait désespérément. Soit pour l’emmener, soit pour la faire taire à jamais. Alors la pauvre fuyait, fuyait, fuyait tout, les contacts, les connaissances, ses endroits favoris, les lieux qu’elle fréquentait. Elle voulait et devait disparaître de la population. Elle pensait bien que ce malade arrêterait un jour. Mais jamais il ne cessa. Et elle ne pouvait pas se plaindre à la police, de peur qu’il fasse du mal à sa famille. Il en était tout à fait capable.
Quand Akira apprit cette histoire, il n’avait qu’une seule chose en tête : la protéger. De toute ses forces. Cette jeune fille qui semblait si fragile ne demandait rien à personne, mis à part la paix ; et elle ne la trouvait pas. Des gens malfaisants lui voulaient du mal. Il n’allait pas les laisser faire. Non pas qu’il était amoureux, mais il l’appréciait vraiment. Malgré leur rencontre plutôt étrange et négative, elle ne l’avait jamais fui. C’était sa toute première vraie amie. Sa protégée. C’était une jeune fille faible, sensible mais pleine d’enthousiasme et positive. Elle était drôle et aimait taquiner Akira. Ils étaient tous deux complices. Ils passaient de plus en plus de temps ensemble, en tant qu’amis. Mais cette douce tranquillité allait bientôt prendre fin, dans d’horribles circonstances.
Mais avant ça, Akira avait réussi à arrêter le malade mental qui poursuivait Miyuki. Alors qu’il l’avait enfin retrouvée, il voulait l’emmener de force loin de tout, jusqu’à ce qu’Akira le stoppe. Il y eu une bagarre, mais une goule étant 10 fois plus forte qu’un humain, même sans utiliser leur Kagune, il lui était impossible de gagner. Akira lui colla une bonne raclée dont il se souviendra encore pendant longtemps. Il n’allait plus poursuivre Miyuki. Elle était enfin délivrée de ce lourd fardeau qui lui pesait.
La question était : qu’allait-il donc faire à présent ? Miyuki allait-elle partir loin de lui pour retrouver sa famille ? Mais cette question ne dura qu’un court temps dans sa tête. Quelques jours plus tard, son père à lui, Akira, l’avait retrouvé. Il n’en revenait pas qu’il était aussi proche d’une femme, et d’une humaine de plus. Le jeune homme le renvoya sans pitié. Il était hors de question que cet homme, chose, monstre ou autre resurgisse dans sa vie si tranquille à présent.
Mais il ne pouvait plus cacher à Miyuki la vérité sur son père à présent. Il ne raconta pas tout en détail, ni exactement. Il donna de vagues informations le concernant. Il voulait que les gens en sachent le moins possible sur son passé.
Et la vie tranquille reprit en peu de temps. Si vite. Trop vite. Miyuki avait décidé de rester un peu ; après quoi elle consulterait sa famille pour savoir si elle prenait son envol du cocon familial –malgré qu’elle ait dû le quitter depuis un bout de temps- et s’installer seule, non loin d’Akira et sa bande d’amis fous et sympathiques.
Alors qu’elle était sortie faire quelques courses, plus personne n’avait de signe d’elle depuis quelques heures. Elle ne répondait pas sur son téléphone et ne se trouvait pas dans la superette où elle se rendait habituellement pour faire des courses. Tous étaient partis à sa recherche, en vain ; mais une fois qu’ils rentrèrent tous dans l’appartement d’Akira, une mauvaise surprise les attendit. Elle était là. Un couteau sous la gorge, et 2 inspecteurs de la CCG la tenant.
« Un humain n’a pas le droit d’aider une goule, ni d’avoir le moindre contact avec l’une d’entre elles. Si celui-ci enfreint ces règles, il sera tué, par la peine capitale. »
Akira allait littéralement exploser. Ils détenaient Miyuki. Qu’allait-il donc pouvoir faire pour la sauver ?
« Elle ne m’a pas aidé, et je ne la connais pas.
- Ah, vraiment ? s’étonna l’inspecteur en faisant mine d’être surpris. Et ça, qu’est-ce que c’est ? dit-il en soulevant le T-Shirt recouvrant la morsure à l’épaule qu’Akira lui avait infligée.
- Je l’ai mordue, c’est vrai. Mais c’est tout. Rien de plus. L’histoire s’arrête là.
- Et, ça ne vous dérange pas de vous faire agresser en pleine rue, sans aller vous plaindre, mais en plus en continuant de voir ce monstre ? demanda-t-il à Miyuki.
- J-je…balbutia-t-elle. »
Tout semblait fini. L’inspecteur allait fendre la gorge de la jeune fille l’arrêta sur le coup.
« Elle n’a rien fait ! cria-t-il. C’est moi. Je l’ai obligée à me servir de repas depuis peu de temps.
- Akira arrête… »
Mais elle n’eut pas le temps de finir. Aucun d’eux dans la salle n’eut le temps de finir de respirer que sa vie lui avait été dérobée en un instant. Akira cria, pleura. Elle était morte. En une seconde Akira massacra l’inspecteur et son coéquipier. Puis il se jeta sur le corps de sa bien-aimée défunte. Il avait tout perdu. Sa famille. L’une de ses rares amies. C’était un terrible choc pour lui.
Et il en devint fou.
Fou de rage. De vengeance. De tuer ces inspecteurs. Et c'est ce qu'il fit, avec beaucoup de mal. Heureusement qu'il était accompagné de ses amis ; sans eux il n'aurait pas pu leur faire face tout seul. Après cette tuerie, il se fit discret quelques temps, pour ne pas éveiller les soupçons ; mais à quoi bon, le 13e étant un quartier pourri, il n'était pas le seul à avoir commis un carnage, donc il ne se sentait pas trop menacé.
Plus personne ne comptait pour lui ; ses amis dans les rues sombres n’étaient que des potes sans réelle importance, qui ne se souciaient pas vraiment les uns des autres. Son père ? Il l’a tué après avoir appris que c’était lui qui avait balancé Miyuki à la CCG.
A présent, il dévorait plus de personnes, et des vivantes : il n’avait plus rien, et son unique plaisir était de se nourrir de chair humaine. Plus jamais il n’avait ressenti le sentiment qu’il avait pour Miyuki en lui depuis son décès. Il était fort, incontrôlable et impitoyable.
Mais peut-être que quelqu’un pouvait le changer. Le résonner. Qui sait.
& VOUS ?- prénom - Bernadette alias - Kokori-chan comment as-tu connu le forum ? - grâce à Crucify as-tu des remarques ? - Magnifique forum ♥ code - VALIDEY PAR MOI-MÊME | | |
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