Une nouvelle journée avait commencer dans cette ville situé en plein centre du Japon. Tokyo, une bien grande ville qui regorge de beaucoup de mystère et de chose diverse et varié. Toujours être sur ces gardes quoi qu'il arrive, c'est une devise que nous ne devons pas oublier nous goule. Malgré le faite que Amako soit devenue le "chef des Osamaru" ne l'empêcha pas de quitter son arrondissement pour aller dans un autre histoire d'essayer de ralliée plusieurs autre goule à sa cause et elle sait très bien que ce n'est pas chose facile. Même si beaucoup la suivent beaucoup la déteste pour cela.

Jeune demoiselle souvent trop aimante du petit peuple qu'es les humains, alors que ceux-ci sont la nourriture principale des goules, ils ne peuvent rien manger de ce qui viens de la nourriture humaine, mais une chose est sur un bon café spécial ne fait jamais de mal et c'est toujours le meilleur moyen de se fondre dans la masse parmi les petites gens.

En cette journée bien ensoleillé, notre jeune femme à la crinière bleu s'engouffra dans le 5ème arrondissement. Se mêlant parfaitement avec les humains, elle pris de grand bouffée d'air l'odeur de ceux-ci lui monté vite au nez et ce n'était pas désagréable du tout il faut bien l'avouer mais, elle c'est jurée à elle même de ne jamais toucher à un être vivant, préférant ceux qui se suicide ou sont mort de cause naturelle. Ils n'ont sans doute pas le même goût et encore moins la même odeur mais, cela lui permet de rester en vie.

C'est au bout de quelques minutes de marche dans le cinquième arrondissement que notre demoiselle poussa la porte d'un café. Elle alla s'asseoir comme si de rien n'était, il y avait bel et bien des goules dans cet endroit, elle le sentait à leur odeur. Un serveur viens alors à sa rencontre et elle commanda un café avec le sourire. Ses yeux se posèrent sur de multiple personne sans y rester plus de dix seconde avant de sentir une goule non loin d'elle.

Son regard se posa sur cette goule, elle la fixa un instant et détourna alors son regard lorsque le serveur reviens lui déposer son café c'est avec un merci qu'elle pris ensuite la tasse en main et en avala une gorgée bien chaude qui lui coula le long de la gorge. Une douce sensation qui pouvais caler la faim de n'importe qu'elle goule durant quelques temps enfin ça lui permettrait de tenir au moins jusqu'à se soir lorsqu'elle rentrera chez elle pour souper réellement.

La perfection un art qui n'est qu'une illusion. Une illusion parfaite en soi. Le mot parfait peu désigner beaucoup de chose pour beaucoup et si peu pour d'autre. Amako ne se considère pas comme tel, ni son café par la même occasion elle trouve qu'il lui manque un petit quelques chose mais, quoi ? Elle ne le sait pas encore mais, elle le découvrira certainement au fil d'une nouvelle gorgée avaler.

Se sentir observer c'est une sensation très désagréable surtout lorsqu'il s'agit d'une personne qui est de la même race qu'elle-même. Agacer c'est le premier mot qui lui viens à l'esprit puis, une nouvelle gorgée viens se glisser dans la gorge de la demoiselle, une petite grimace fut ensuite apparition sur son si jolie visage. Elle reposa la tasse sur la table, dans ce café tout ce qu'il manquait c'est de l'amour de la préparation, un bon café ne se fait pas à toute hâte et prend soin de bien noter ces petits points dans un coin de sa tête pour en faire part par la suite au serveur lorsqu'elle devra payer son du.

La jeune femme aux cheveux bleu fit craquer son pouce en serrant ses petites mains frêle et si douce pourtant, elle ne l'avais pas fait exprès dans un sens, c'était ses articulations qui fessait des siennes. Une petit soupir s'échappa de ces fines lèvres et sa tête pivota doucement vers les yeux qui ne cesser de l'observer depuis un petit moment.

Amako pris sa tasse de café et son sac à main pour aller se placer face à l'homme qui la regardait, la jeune femme posa son sac à main sur le dossier de la chaise, sa tasse devant elle sur la table. Ses yeux viens alors se plongé dans ceux du jeune homme et un petit sourire timide viens agrandir ses lèvres fines et éclairait son visage.

-J'espère que ça ne vous dérange pas parce que si c'est pour me regarder autant le faire de façon plus agréable, devant un café.

Amako eu un plus large sourire après ces paroles, ses mains viennent se poser sur la table entourant par la suite sa tasse de café de celles-ci. Cette tasse blanche sans aucune personnalité viens à nouveau rencontrer les lèvres de notre demoiselle.

Je pris une nouvelle gorgée de mon café mon regard planté dans celui de mon interlocuteur, à ces mots je lui adressais un sourire en coin de mes lèvres. Je reposais par la suite ma tasse dans sa soucoupe prévu à cet effet.

Puis, je fis une chose sans doute mal poli, mais peu m'importe mes coude sur la table je viens croiser mes petits doigts les uns dans les autres. Je posais ensuite mon menton sur ce support de doigt, ne quittant pas une seule seconde mon interlocuteur de mes yeux océans.

-Je ne vois pas pourquoi je penserais une tel chose de la sorte. Et je suis enchantée de faire votre connaissance.

Enchantée est un bien grand mot, c'est sur mais je ne vais tout de même pas dire le contraire car ce n'est pas du tout le cas. Je voulais rencontrer le plus de goule possible afin de les ralliés à ma cause. Une chose qui n'est pas du tout aisé dans un sens et cela va de soit. Il venait de se présenter à moi et moi je ne m'étais pas une seule fois présenter pour le moment. Je repris alors la parole un petit sourire poser sur mes fines lèvres.

-Je m'appel Amako... Amako Shimizu.


Peut-être qu'à la simple entente de mon nom il savait qui j'était et cela ne me compliquerais pas la tâche pour la suite des événements ou, il n'en avait aucune idée et là je devrais jouer de ruse pour savoir dans quel camp il était.

La façon dont il avait fait tourner son chapeau sur son index aurait tout à fait pu me faire rire ou même m'impressionner lorsque j'étais une enfant mais, ce n'est plus du tout le cas pour le moment. J'avais grandis pris de l'âge et bien mûris sans doute un peu trop vite selon mon gout en même temps lorsque l'on deviens chef jeune on n'as pas vraiment le choix de mûrir vite très vite.

Les paroles qu'il m'adressa en premier lieux me fit légèrement rougir et grandement sourire. Il est rare de recevoir des compliments de la part de ces congénères surtout lorsque ceux-ci nous sont totalement inconnu. Et la vie nous à appris à nous méfier de tout et n'importe quoi surtout de n'importe qui.

-Ce que je cherche en ces lieux ? Hum... Rien en particulier, je suis juste là pour prendre un café dans un endroit fort sympathique.

Et non je ne chasse pas les humains comme certaine goule que l'on peu rencontrer en ces lieux, non je ne suis pas là pour faire du repérage pour le coup et non je ne le lui dirais pas maintenant le pourquoi du comment que je suis là. La confiance est une chose très dure à accorder et il faut beaucoup de temps, je sais mon but premier trouver des goules capable de raisonner comme moi et n'étant pas du tout dans mon quartiers il m'es très dur de trouver ce que je recherche en ces lieux. Je b une nouvelle gorgée de mon café. Mon regard ne quitta pas une seule seconde celui de mon interlocuteur. On m'as toujours dit que le regard et le reflets de l'âme et que l'on peu tout apprendre d'une personne rien qu'en le regardant droit dans les yeux. Mais, il est parfois très difficile de deviner les intentions des autres, quand ceux-ci savent bien cacher leur jeux.

Je ne peux dire que je puisse lire dans ses yeux comme dans un livre ouvert, car il cache tout ce qu'il ressent, je n'arrive pas à démêler le vrai du faux, je n'arrive pas à savoir ces intentions. Ma tasse était de plus en plus vide et bientôt elle le serais complètement ainsi que cette discussion à moins que... Voilà que le jeune homme relance la conversation en m'avouant certaine chose que j'avais moi aussi entendu mais, pas confirmer.

-Se ne sont que des rumeurs... Mais, si vous en parlez vous aussi c'est que ces rumeurs sont certainement fondé... A moins que...

Oui, il ne faut jamais se fier aux rumeurs puis, la fin de sa phrase me reviens en tête.

-Votre fille ?

Étonner ? Oui, je l'étais dans un sens car j'avais du mal à le voir père de famille après tout on ne connait jamais vraiment personne. Je laissais paraître un sourire sur le coin de mes lèvres. Puis, je repris la parole.

-Prenez bien soin d'elle.

Oui, il faut toujours savoir protéger sa famille car, c'est ce qui compte le plus au monde mais, si cela se trouve ce n'est pas vrai ce qu'il me dit... Enfin bref, dans un sens cela n'as que très peu d'importance pour moi. Je reviens alors sur le sujet de la conversation.

-En parlant de ces rumeurs vous pensez que l'on peu faire cesser ce genre de chose ? Car, je dois bien avouer que je n'aime pas que l'ont fasse du mal pour le simple plaisir.

Je ne supportais pas du tout le fait que l'on massacre dans innocents par simple plaisir de faire souffrir, maintenant j'allais voir sa réaction par rapport à mes dernières paroles. Je suis une goule certes, je me nourris d'être humains, mais ceux que je mange ne sont plus vivant, chose que peu d'entre nous font.

Le jeune homme, ou devrais-je plutôt dire la goule en face de moi, me dit qu'il n'était pas du genre à s’inquiéter pour rien et donc les rumeurs seraient alors bel et bien fonder dans un sens. Mes yeux de cristal ne lâchaient pas mon interlocuteur. Et je laissais paraître un petit sourire en coin de mes lèvres. Il me répond qu'il as bien une fille, je détourne alors mon regard sur ma tasse avant de la prendre dans ma main droite et de la porter à mes lèvres pour en boire le dernier contenue qui s'y trouvait.

Tout en buvant ce liquide qui coula le long de ma gorge j'écoutais attentivement ce qu'il me disait, il semblait que mes paroles l'eu un peu surpris. Il ne savait ou plutôt il ne voyait pas quel autre moyen on avait pour arrêter ces goules qui frappaient comme cela. Une fois le liquide de ma tasse vider, je posa celle-ci reposant mon regard sur mon interlocuteur.

-Je pense que le seul moyen d'arrêter ce genre de goule c'est de l'attaquer nous même. Le CCG n'est pas assez puissant et encore moins assez rapide pour ce genre de chose. La seule chose à faire c'est de nous renseigner nous même sur ce sujet et d'y remédier. Aucune goule pour moi n'as le droit de vie ou de mort sur les êtres humains, mais après ce n'est que mon avis.

Je fini ma phrase tout en adressant un sourire à Nakhanë, attendant de voir sa réaction à mes paroles. Des paroles qui sortent du fond de mon coeur, car se sont mes conviction qui parlent en ce moment-même.

Je pris une grande inspiration mes yeux océans toujours encré dans ceux de mon interlocuteur. A ce moment précis je me demandais sincèrement ce qu'il voulait de moi, et à dire vrai je n'en savais rien du tout. Ma tasse était vide de tout liquide mais, cela ne m'empêcher pas de jouer machinalement avec mes doigts autour de celle-ci.


-Oui, je rayonne, je n'aime pas qu'une injustice reste impunie. Si je le crois ? Bien sur, que je le crois, il faut juste savoir bien s'entourer dans ce genre de situation.

Il fallait savoir s'entourer et c'est ce que je cherche à faire depuis très longtemps, même si cela signifie se rallié à l'ennemis. Mais, je suis sur que tous le monde veux la même chose dans un sens ? Non ?

-Et vous de quel côté serez-vous ? De ceux qui reste bien sagement assis le temps que cela se passe ? Ou alors de ceux qui agissent pour ce qu'il pensent être le plus juste ?

C'est sans doute des questions que l'on ne pose pas forcément à des inconnu mais, si je voulais savoir de quel côté il serait je me devais de lui poser cette question.

Mes conviction était l'une de mes seule raisons de vivre, un choix que j'avais fait depuis très longtemps, je pense que c'est ce que la vie m'as enseigner dans un sens. J'y croyais sincèrement dur comme fer à tout ce que je pouvais dire, ou même laisser penser, c'est peut-être un tord en soit mais, bon c'est en ce que je crois, un monde meilleurs ou nous pourrons tous vivre en communauté sans plus jamais devoir se cacher des autres, sans avoir peur de sortir tard le soir de peur de se faire tuer.

La vie est très souvent injuste mais, bonne parfois. La vie est comme ça et on n'y peu rien. Ce que j'entendais là me mettais hors de moi intérieurement mais, je ne laisser rien paraître. Si j'avais les goules qui sont à l'origine de ces massacres je me verrais bien leur faire un petit coup. Leur casser la tête comme jamais, même si je suis souvent contre la violence mais, parfois on ne peux pas fuir le combat et nous y sommes totalement obliger de l'affronter.

-Exactement ne rien faire serai inacceptable et croyez moi je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que cela cesse même si je dois utiliser la force.

Il n'avais pas réellement de camps à proprement parler, donc c'était une personne dont il fallait se méfier en tout haut point. Mais, dans un sens on peu lui faire confiance. Avec cet homme on ne sait pas vraiment sur quel pieds danser, il faut toujours être au top niveau pour ce qui est de ces conviction sinon il risque de retourner sa veste en moins de temps qu'il faut pour le dire.

Je lui adressais un sourire en coin de mes lèvres des suites à mes pensées et laissais un petit soupir sortir d'entre mes lèvres. Je pris mon sac à main et l'ouvrit sortant mon port-monnaies. Je déposa la monnaies de mon café ainsi que la boisson de mon interlocuteur sur la table.

-J'espère que nous nous reverrons mon cher ami.

Tout en lui disant cela je lui dresser devant lui une carte de visite de ma boutique de vêtement. Un dernier sourire en coin de mes lèvres et la chasse à la goule aller sans nul doute commencer de mon côté. Et dans un sens j’espérais revoir cette goule fort aimable de parole.