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Forum Tokyo ghoul, basé sur le manga original de Sui Ishida. Avatar du même type en 200*320. Personnage de l'anime interdit à prendre, nous demandons des personnage fictifs car aucun lien avec Ken Kaneki ne sera fait. Cela se passe également à Tokyo.
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4: RIB - FORTY SEVEN (ヨンジュウナナ)
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Ukime ~ Sometime only death can bring you peace. [Terminé]



 
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Ukime ~ Sometime only death can bring you peace. [Terminé]
ON EST EN 2016, CA VA BOUGER CETTE ANNEE !
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Ukime Watara




Ukime Watara
Citoyen
Messages : 10
Date d'inscription : 02/11/2015

Informations
arrondissement: Nomade
Groupe: Citoyen
Rang: Traqué par le CCG



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prénom+nom
Ϟ Ukime Watara
âge
Ϟ 22 ans
métier/occupation
Ϟ Sans Emploi
Orientation sexuelle
Ϟ Homosexuel
situation financière
Ϟ En chute
situation amoureuse
Ϟ Célibataire
arrondissement
Ϟ Nomade originaire du 13ième.



avatar -  Kuroko Tetsuya - Kuroko no Basuke


son histoire -
Je l'observe, je le vois se pavaner avec sa mallette, arborant son sourire suffisant face à son collègue...

Je n'étais pas destiné à vivre tout ça. Rien dans ma vie ne m'orientait d'une quelconque manière vers tout ceci et pourtant..
Né d'une famille mono-parentale, je n'ai jamais eu la chance de connaître ma mère. Néanmoins, je n'eu jamais à en souffrir. Mon père, bien que maladroit fût toujours à mes côtés et m'encouragea dans chacune de mes actions, peu important leurs raisons et leurs buts. Petit déjà, je me sentais différent des autres en beaucoup de point. Mon raisonnement, mon attitude à la fois détachée et sulfureuse. Je n'étais pas un enfant à problème, loin de là. J'étais juste un enfant parmi d'autre. Sans histoire, sans rebondissements ni intérêt. Cependant, pour une raison qui m'est inconnue encore aujourd'hui, peu de personnes semblaient daigner démontrer une once de volonté quand à me garder dans leur entourage. Un peu comme si je ne leur offrais pas plus d'intérêt qu'une simple pierre sur un chemin. Enfant sans problème mais enfant sans amis, cette pente s'accentua lorsqu'à l'âge de l'adolescence, je confirmais mon homosexualité. A défaut de continuer le long et morne chemin de l'ignorance, certaines personnes commencèrent à être étranges, désagréables puis totalement hostiles envers moi. Comme si je reflétais une part de dégoût. Comme si ma différence semblait condenser l'essence même de ce qu'ils détestaient. Petit à petit, je m'enfermais encore un peu plus sur moi et sur ma condition, ne répondant plus aux insultes, patientant que les crachats glissent avec les dernières larmes de mes yeux asséchés.
Et puis.. Il y a eu ce jour. Ce jour où ma vie toute entière bascula. Je me souviens encore du silence précédant leurs paroles et leurs rires. Eux, mes soit-disant camarades de classes. Les premiers coups se mirent à pleuvoir, déchirant le silence de mes cris de douleurs que personne ne pouvait ou ne voulait entendre. On entendait tellement d'histoires sur les goules que plus personnes n'osait accourir lorsque quelqu'un hurlait. Cependant, les "monstres" d'aujourd'hui n'allait pas me manger.. Non, juste me tuer. Ils étaient humains. Monstrueux humains sans humanités. Et puis, alors que je sentais la vive brûlure d'un acier tranchant le long de mon ventre, je le vis. Debout, au loin, trop faible pour l’appeler, la bouche sèche d'avoir trop crier. Il était là, regardant la scène comme en étant de choc. Sans que je ne comprenne, je vis son corps disparaître de manière surhumaine, puis plus rien. Le long silence avant les hurlement macabres. Le bruit de la chair qui se déchire avant celui des os qui se brisent. Le son des voix qui se taisent avant celui de la chair qu'on dévore. Et puis.. son visage. Penché au dessus du mien, à moitié fou et à moitié terrifié. Et ses paroles, ses complaintes, ses supplications. Lui, celui que je regardais du coin de l'oeil chaque jour en allant à l'école.. Était-ce cela une goule ? Mon esprit divagua avant de tomber dans l'inconscient, sentant mon corps décoller avant de sombrer.
Suite aux événements, mon père, tenant une armurerie, m'obligea à porter une arme pour me défendre. A ses dires, ont m'avait retrouvé non loin de chez moi en sang. Aucunement mention des autres ni de Lui. Je n'avais pas osé en parler. Même si je connaissais sa véritable nature.. Je n'avais pas envie de le voir mourir. Lui qui m'avait sauvé. Lui qui m'avait porté de l'intérêt. Les jours passèrent, puis les semaines. Je repassais chaque jours devant son travail, espérant le voir sans succès. Je regardais les portraits de mes agresseurs affichés aux poteaux, leurs parents espérant naïvement leur retour. Et puis, un soir, je l'ai vu. Il se tenait là, posté dans la ruelle, m'observant à la fois inquiet et... Heureux. Je me mis à sourire pour la première fois depuis longtemps et m'enfonça dans la ruelle.

... Il fait froid mais je ne tremble pas. Je me contente de le fixer, j'attend la bonne occasion, j'attend qu'il ne l'attende pas. J'attend qu'il sourit, j'attend pour le briser...

Les premiers mois de collocation ne furent pas aisés. Chacun devant apprendre à vivre avec les besoin et les dangers de l'autre. Lui devant apprendre à se contrôler en permanence, moi devant éviter au maximum de me blesser, de sortir le soir et de poser trop de questions. Cependant, avec le temps, la routine fini par s'installer et nous vivions comme des "humains presque normaux". Je me souviens encore du contact de ses lèvres sur les miennes et sur mon corps. De la douceur de ses caresses et de la sensation d'appartenir enfin à un monde. De savoir que l'on existe. Nous vivions dans une bulle d'aise et de bonheur sans nous douter des épines qui nous entouraient. Incité par des amis, il avait fini par m'offrir un masque. Pourtant destiné aux goules. Il voyait ça comme une marque pour signifier à tous que j'étais des leurs. Plutôt utopiste et d'une certaines manière, inutile puisqu'il refusait que je ne sorte avec et que je me mette en danger.
Et puis.. Une épine. Lentement, doucement, elle se logea dans notre bulle.. Avant de l'éclater. Ce fût un soir de février, censé revenir il y a deux heures de cela, son absence m'inquiéta. Nous avions vu des colombes plus tôt dans la semaine, mon sang ne fit qu'un tour et je parti dehors, le vent glacé portant la neige fouettant mon visage telle une gifle hivernale. D'abord marchant, je me mis à courir, désespéré de ne trouver personne nul part. Pas de réponses sur mon téléphone, personne dans les lieux que je connaissais. Pas une goule dans les ruelles sombres. Rien, comme si tout le quartier retenait son souffle. Et je les ai vu.. Le quartier ne retenait pas son souffle, on le lui arrachait. Plantés là, dans la neige empourpré. Deux colombes, une à terre surement morte, entourées des cadavres de ceux que j'avais l'habitude de croiser, de saluer. La colombe et.. Lui. A genoux, la tête basse et les larmes aux yeux. Un hurlement déchira la quiétude macabre lorsque la lame de la colombe déchira mon amant de part en part. Mon corps se glaça, comme si toute vie était arraché. Je regardais impuissant son corps se faire déchiqueter par la colombe trop goguenarde pour relever le cri déraillant qui s'échappait de ma gorge endoloris par le froid. Mes jambes agirent alors que mon esprit n'était plus réellement là, mon corps tout entier se mit à se mouvoir, m'extirpant au plus vite de la situation dans laquelle je me trouvais. Récupérant mes affaires, mes marques, ses cadeaux et toute trace de mon existence ici, je retournais chez mon père dans le courant de la nuit avant de m'écrouler dans ma chambre, accusant le contre-coup des actions de ce qui me semblait encore irréel.

Le vent caresse mes cheveux qui semblent mollement suivre son sens. Mon visage lui, ne sent rien, camouflé et protégé derrière le masque blanc qu'Il m'avait offert. Mon oeil s'approche à nouveau de la lunette, son visage vainqueur toujours en vue. Le bruit de la foule étouffé par l'altitude me parvient légèrement mais je n'y fais pas attention. Installé contre le rebord du building, je fixe celui qui m'a brisé. Je l'observe vivre et je place mon doigt sur l'épine. Doucement, lentement, j'appuie, je presse pour éclater sa bulle de complaisance. La détonation se fait entendre tandis que la foule se tait. Les yeux grand ouverts pour ne rien louper, je le fixe malgré le recul de l'arme. Je l'observe s'effondre violemment, en silence. Je ne l'ai vu que quelque secondes après l'impact. Méconnaissable, défiguré par une balle qu'il ne pouvait voir venir. Défiguré comme il m'a défiguré en m'arrachant la seule personne pour qui je comptais. Pendant quelques secondes, j'observe son collège se ruant sur lui, paniqué de recevoir une attaque contre laquelle ils ne sont pas préparés. Je le regarde souffrir quelques secondes avant que ma main n'enclenche le mécanisme de rechargement dans un bruit singulier. Et j'appuie à nouveau. La deuxième colombe s’effondre encore alors que je démonte déjà l'appareil. Je ramasse les cartouches puis le linge pour la poudre, uniques preuves de mon passage ici. Les balles limées ne pouvant être associés au magasin de mon père. Je rangeais l'arme dans l'étui de guitare, l'enfila sur mon épaule puis ôta le masque que je déposais dans mon sac. Pendant cet instant, je m'étais sentis complet. La vengeance m'ayant légèrement permis de repenser à lui sans le voir maculé de son propre sang. Patientant dans l’ascenseur, je réalise enfin mon acte et ses conséquence. Je n'ai pas ma place réellement dans le monde des goules, et j'ai perdu la mienne dans celui des humaines. Je ne suis rien pour tout. Je ne suis personne. Je ne suis plus rien.
Alors je marche, les larmes aux yeux, la capuche vissée sur le crâne. Les derniers souvenirs de son sourire en tête et je marche. Je marche jusqu'à ne plus pouvoir. Je marche car je n'ai nul part où aller. Je marche parce que je n'ai nul part où rester.



CARACTÈRE
+ physique

Je ne suis pas vraiment quelqu'un de très aisé en société. De par le passé comme par le présent, j'ai toujours été plus ou moins heureux d'être mis de côté. D'un côté, je me sentais seul mais en même temps cela me préservait de beaucoup de choses. Je n'ai jamais vraiment senti que j'avais une place dans ce monde avant de le rencontrer. J'ai apprécié le temps passé avec lui comme on apprécier le vent de l'été. Je n'ai jamais autant ouvert mon cœur à quelqu'un et peut-être que je ne le ferais plus jamais. J'ai été brisé par sa perte au point de me retourner contre mon espèce maternelle. Au point de cracher sur mon identité. Maintenant, je ne fais qu'errer. De doux cheveux bleutés dans une infinité grisée par le chagrin. Je n'ai pas l'impression d'avoir les épaules pour tout ça, ma silhouette trop svelte pour faire face à quiconque. Seules les armes légués par mon père à mon départ me donnant une illusion de contrôle sur ce qui se passe. Actuellement, à la fin serein et perdu, je erre dans un monde que j'observe et que je crains. J'aimerais tellement trouver quelqu'un ou quelque chose qui me fasse sentir comme avant, avoir une raison d'exister. Je ne peux me tourner vers personnes. Aux yeux des miens je serai traité de meurtrier, aux yeux des siens je ne serai traité qu'en proie. Alors je erre, seul dans ma solitude et mon chagrin. Le masque blanc et innocent qu'il m'avait offert comme seul lien me raccrochant à la réalité et m'empêchant de sombrer dans une folie dépressive.
le code;
OK BY ANA  
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Anarchy Rose




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Hello et bienvenue petit chou !
Hiii trop kawai le citoyen Ukime ~ Sometime only death can bring you peace. [Terminé] 3608193302
Bon courage pour ta fiche, ton code est validé !
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Anonymous
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bienvenue ami citoyen. ♥️ Ukime ~ Sometime only death can bring you peace. [Terminé] 2081332957
un icon de kindred ? c'est bon je t'aime en fait.
bonne chance pour la suite.
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Ukime Watara




Ukime Watara
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Merci à tout les deux :)

Je me permet de poster pour signaler que j'ai terminé ma fiche.


Pour ce qui est du physique/caractère, j'ai essayé de l'écrire de manière naturelle. Si jamais ce n'est pas convenable, dites le moi. Je pourrais tout à fait comprendre, il y a peu d'informations. Mais j'ai essayé de faire ressortir son caractère et son physique dans sa façon de penser plutôt que par une description formelle.
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Nobuharu Chikara




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Je m'occupe de toi tout de suite :3 hehe
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Ukime Watara




Ukime Watara
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Dois-je serrer les fesses ? blinkwhat
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Nobuharu Chikara




Nobuharu Chikara
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Hé bien, sympathique histoire, aucune erreur à relever, un de ces humains plein d'amour que j'aime voir de temps en temps.

Alors Alors... Aucune erreur... Pas de fautes d'orthographes qui m'ont déchirés les pupilles, et une histoire touchante et assez détaillée qui ne m'a pas laissé de marbre je l'avoue...

Comment ça je tergiverse, je tergiverse ? J'ai le droit non ?! POUR QUI TE PRENDS-.... *Les membres du staff arrivent et le ligote, l'emmenant dans une camisole de force, celui-ci beuglant des phrases incompréhensibles au travers du masque de métal.*


Heum... Excuse moi. Alors...Alors...

*Hésite à appuyer sur le bouton.*

Nah j'déconne. *Appuis dessus, la foule acclamant le nouveau venu !*



VALIDATION SUPRÊME


Félicitation, tu es validé(e) ! Tu vas pouvoir recenser ton avatar ici. Ensuite, crée ta fiche de liens et n'hésite pas à demander un RP ! N'oublie pas de faire un tour par la boutique, qui sait, tu pourras peut-être trouver ton bonheur. Et enfin, si tu nous aime, vote sur les top-sites pour TG ! ♥
 
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